Je ne vais pas y aller par quatre chemins : Cate Blanchett est comme toujours.. DIVINE…
Dans sa beauté pure et dure, dans son jeu d’une authenticité sans concessions, cadrée en gros plan pendant toute la durée du film !
Elle incarne à la perfection la perversité bourgeoise, noyée dans un alcoolisme mondain et un « paraître » dissimulant ses failles avec peine. La descente aux enfers de cette bourgeoise new yorkaise, banalement trompée par un mari (Alec Baldwin) escroc, laisserait finalement peu de traces sans cette actrice-reine à la présence et à l’énergie parfaites ! L’actrice britannique Sally Hawkins n’est d’ailleurs pas en reste en sœur assumant la modestie de leur milieu initial.
Cate réussit à insuffler une lumière à ce long métrage en dépit du pauvre scénario d’un Woody Allen, dont le sujet — redondant — de la bourgeoise new yorkaise, s’essouffle à mes yeux particulièrement..
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